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Cet environnement est pensé comme le pendant d'un nouveau volet qui prend place dans le travail : celui de la performance où j’active mes pièces comme pour rompre avec le silence de la sculpture. Le corps, le son, la voix, l'image, l'eau, le vent s'immiscent dans le travail pour donner lieu à des scènes et paysages sensibles à la fois visuels et sonores.
La superposition des couches à la manière d'un collage, gonfle le sentiment d'étrangeté et de décalage tout en laissant de plus en plus de place à la narration et à la fiction.
Ainsi, l'exposition " sur quel pied danser " est peut-être à envisager comme la costumerie potentielle d'actions passées, ou à venir...